Transition énergétique : freiner le réchauffement climatique, une maison à la fois
À l’échelle de la planète, la communauté scientifique s’entend pour dire que l’activité humaine accélère les changements climatiques et menace notre environnement. Il y a donc urgence de poser des gestes concrets maintenant, ce qui se traduit entre autres par l’accélération de ce qu’on appelle la transition énergétique. Voici en quoi elle consiste et comment nous pouvons tous y contribuer.
Une transition urgente et nécessaire
La transition énergétique est la modification des modes de production et de consommation de l'énergie au profit de sources renouvelables pour freiner le réchauffement climatique et la détérioration de l’environnement.
Une grande partie de l’énergie consommée dans le monde est de source fossile. En libérant du CO2 dans l’atmosphère, cette énergie contribue au réchauffement climatique. La transition énergétique passe donc par une décarbonisation : la réduction progressive des énergies émettrices de gaz à effet de serre. Selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), il faut éviter de dépasser une hausse des températures de 1,5 °C, sans quoi les conséquences sur les écosystèmes, incluant la vie humaine, seront désastreuses. Pour y arriver, l’utilisation du charbon, du pétrole et du gaz doit être réduite respectivement de 100 %, 60 % et 70 % d’ici 2050. Comment ? En effectuant une transition vers de nouveaux moyens de produire de l’énergie plus proprement et de la consommer plus intelligemment.
L’objectif est de réussir à faire fonctionner nos secteurs les plus polluants à partir de nos énergies les plus propres et renouvelables. Heureusement, au Québec, 99,8 %* de l’énergie que l’on produit est renouvelable, dont 94,5 % d’hydroélectricité, l’une des énergies les plus propres au monde. On est donc en bonne position pour effectuer cette transition.
L’adoption de comportements moins énergivores
Ce n’est pas parce qu’on consomme moins de pétrole et qu’on électrifie le Québec qu’on ne doit pas continuer à faire attention à notre consommation. Les Québécois sont gourmands en la matière (nous sommes parmi les plus grands consommateurs mondiaux d’électricité !). Sans compter qu’avec l’accroissement de la population, l’avènement du numérique ou encore l’électrification des transports, nos besoins en énergie augmentent aussi.
Gardons en tête que l’énergie la plus respectueuse de l’environnement restera toujours celle que l’on ne consomme pas. Le monde entier doit donc se conscientiser. Et, dans tous les pays, on doit adopter les bons réflexes pour trouver des moyens de consommer moins au quotidien.
Économiser lors des pointes hivernales
En vous inscrivant à Hilo, vous êtes automatiquement inscrit au tarif Flex D. Ensemble, ces deux options vous permettent de réduire votre consommation d’électricité pendant les événements de pointe, sans effort.
Hilo automatise la gestion de vos thermostats (Hilo ou de marque compatible) selon le mode de participation choisi (modéré, audacieux ou extrême), en baissant la température au bon moment tout en maintenant votre confort. Vous pourriez ainsi économiser jusqu’à 20 % sur votre facture d’électricité hivernale.
Si vous préférez ne pas utiliser Hilo, vous pouvez aussi profiter du tarif Flex D en ajustant manuellement vos thermostats : baissez la température d’au moins 2 °C au début de l’événement et fermez les portes des pièces inutilisées.
Bref, une solution gagnante pour le portefeuille, pour la collectivité et pour la planète, et une manière concrète de contribuer à créer un monde plus vert. Rejoignez le mouvement Hilo dès maintenant !
* Statistique Canada, 2018 — Hydro-Québec, 2017